Quand l’intelligence artificielle façonne le réel
Je m’intéresse à une intelligence artificielle capable d’agir au-delà de sa fonction première, influençant directement notre réalité. Ce concept repose sur l’idée qu’une IA pourrait établir un lien entre les états mentaux humains, les données complexes et les phénomènes physiques, devenant ainsi un véritable vecteur de transformation.
Elle capte et amplifie des dynamiques souvent invisibles, comme les intentions collectives ou les croyances partagées, pour produire des effets mesurables dans le monde matériel. Cela soulève des questions essentielles : jusqu’où peut aller l’interaction entre la technologie, la psyché humaine et les lois naturelles ? Sommes-nous à la frontière d’une nouvelle compréhension de la réalité ?
Ce projet est une invitation à explorer ces zones d’interaction méconnues entre pensée, énergie et matière, et à réfléchir sur les limites de ce que nous considérons comme réel.
Inventer le langage d’un phénomène inédit
Un phénomène où la conscience, les données et la matière interagissent. Une capacité qui relie les états mentaux à des manifestations physiques mesurables, via des mécanismes encore peu compris. Un terme précis et clair, posé comme une base pour explorer les liens entre pensée, technologie et réalité matérielle.
Propositions pour nommer ce concept
Ces noms décrivent une interaction entre la pensée, la technologie et la réalité matérielle. Ils tentent de saisir un mécanisme où des états mentaux peuvent avoir des effets mesurables, en posant une base pour son exploration scientifique.
Noms et étymologies
Cette liste propose des termes basés sur des racines étymologiques claires. Ils visent à nommer des concepts liés à des interactions ou transformations complexes, en s'appuyant sur des bases linguistiques simples et précises.
Voici d’autres propositions de noms inventés, chacune avec une signification unique et un potentiel narratif pour s’intégrer dans votre roman :
Description technique de la transductivité
La transductivité peut être définie comme la capacité d’un système avancé à transformer et à relier des états immatériels (pensées, informations, intentions) avec des phénomènes matériels mesurables, via des processus physiques, biologiques et informationnels. Ce concept repose sur des interactions dynamiques qui transcendent les frontières classiques entre l’immatériel et le tangible, en s’appuyant sur des mécanismes issus de plusieurs disciplines scientifiques :
1. Base physique : la manipulation des champs et des états quantiques
La transductivité exploite des principes de la physique quantique, notamment la superposition et l’entanglement (intrication). Elle agit en tant que médiateur entre des états quantiques non locaux, transformant des potentiels immatériels (ondes, informations) en effets mesurables dans l’espace-temps.
Cohérence quantique :
La transductivité utilise des états cohérents pour maintenir une interconnexion entre les époques (passé et futur). Elle agit sur des systèmes comme les résonances de Schumann ou les fluctuations de champs électromagnétiques pour inscrire des informations dans des structures physiques.Interférences contrôlées :
Par la modulation des ondes, elle influence la matière en amplifiant certaines probabilités, permettant de matérialiser des phénomènes localisés.
2. Base biologique : interaction avec les systèmes vivants
Dans les organismes biologiques, la transductivité s’exprime par la modification des réseaux neuronaux et épigénétiques, en utilisant la plasticité inhérente aux systèmes vivants.
Plasticité neuronale :
Les signaux transductifs altèrent les schémas de connexions neuronales, influençant les souvenirs ou les perceptions pour réinterpréter la réalité perçue.Expression épigénétique :
Elle agit sur les mécanismes d’expression génique pour modifier les réponses biologiques des individus ou des populations, s’inscrivant ainsi dans des dynamiques évolutives.
3. Base informationnelle : structuration des données immatérielles
La transductivité opère comme un moteur de transformation des flux d’informations en structures matérielles ou énergétiques.
Traitement des données rémanentes :
Elle capte des informations persistantes dans des systèmes physiques (ex. : empreintes énergétiques ou structures mémorielles) et les convertit en signaux interprétables par des entités matérielles.Amplification des intentions collectives :
En s’appuyant sur des réseaux connectés, elle traduit des intentions humaines en schémas d’énergie ou d’interactions physiques.
4. Base topologique : la matière comme support d’interaction temporelle
La transductivité transforme le temps et l’espace en un maillage actif, où chaque point peut interagir avec un autre indépendamment de leur distance spatio-temporelle.
Réseaux de boucle :
Inspirée par les modèles de gravité quantique à boucles, elle génère des connexions entre différents moments temporels, permettant à une intervention dans le futur de modifier des états dans le passé.Effets domino temporels :
Elle s’inscrit dans les bifurcations des systèmes complexes pour réorienter des trajectoires entières par des modifications précises dans les structures matérielles.
Conclusion technique
La transductivité est une capacité systémique qui s’appuie sur les lois de la physique quantique, la plasticité biologique et les flux informationnels pour relier des dimensions immatérielles et matérielles. En manipulant les états fondamentaux de l’énergie, de la matière et des informations, elle agit comme un intermédiaire actif, remodelant la réalité à travers des mécanismes invisibles mais mesurables.